Deuxième Festival Génération Court
Tranches de vies savoureuses ou douloureuses,
témoignages de jours sombres ou de désirs
de lendemain qui rappent sont à découvrir dans
la prochaine édition de Génération Court. Voir la bande annonce
Tranches de vies savoureuses ou douloureuses,
témoignages de jours sombres ou de désirs
de lendemain qui rappent sont à découvrir dans
la prochaine édition de Génération Court. Voir la bande annonce
Tranches de vies savoureuses ou douloureuses,
témoignages de jours sombres ou de désirs
de lendemain qui rappent sont à découvrir dans
la prochaine édition de Génération Court. Un festival
de courts métrages qui donne à voir et à comprendre
ce qui touche et émeut les jeunes Albertivillariens. Voir la bande annonce
Histoires d’amours contrariées,
de discrimination à
l’embauche, de choc des
cultures et des générations...
mais aussi d’espoir de jours
meilleurs et de lendemains qui chantent...
Tout cela et bien plus encore,
des jeunes de la ville ont eu envie de
l’exprimer en images, à travers des
courts métrages qui nous seront donnés
à voir ce mois-ci, à l’occasion de
la deuxième édition du Festival Génération
Court.
Initié l’an dernier par l’Office
municipal de la jeunesse (Omja), en
partenariat avec l’association malienne
Blonba, ce festival a recensé et
visionné près de trente-quatre réalisations
avant d’en extraire quatre.
Quatre productions qui ont semblé
les plus abouties, les plus explicites à
l’équipe de Génération Court.
« C’est
toujours un moment difficile, reconnaît
Diaby Doucouré, responsable de
la maison de jeunes Emile Dubois et
du festival, la plupart des films ont un
contenu qui témoigne des problématiques
vécues par les jeunes, ce qui fait
la différence c’est la qualité de l’écriture du scénario, des images, de la cohérence
du message et de l’originalité de
l’ensemble... »
Ainsi, le lauréat de l’année dernière
Mon hall, réalisé par Hassan Strauss
dans son immeuble de la rue Sadi
Carnot, a été par la suite largement
diffusé et primé dans d’autres festivals.
Une tournée qui a confirmé le
talent de ce jeune réalisateur qui a su
habiller d’humour un quotidien pas
toujours drôle.
Quatre fictions en compétition
Forte de sa première expérience,
l’édition de Génération Court 2007
semble tout aussi prometteuse.
En
compétition, quatre courtes fictions :
Au delà des cultures, réalisée par
Mariama Touré, Oussman Sissoko et
Aristote Monga ; Entre principes et
amitiés d’Abdoulaye Cissé ; Profil Bas
de Sarah Benhadj et Demain c’est loin
d’Eriola Yanhoui.
Tous ont été projetés
lors des voyages réalisés cet été par
des jeunes de la ville, acteurs de projets
encadrés par l’Omja.
Reçus par des associations partenaires
au Brésil,
en Algérie, au
Sénégal et au
Mali, les jeunes
de l’Omja y ont
présentés les réalisations
de leurs
camarades.
Deux
soirées, les 23 et
24 octobre prochains
sont
d’ailleurs programmées
au
cinéma Le Studio
pour y restituer la
totalité des documentaires
réalisés
sur ces voyages.
Entre-temps, le jury se sera réuni,
aura délibéré au terme d’âpres discussions...
et pourra rendre son choix
définitif au cours d’une grande soirée
prévue le vendredi 26 octobre à
l’Espace Fraternité.
Outre la diffusion
des courts métrages en compétition,
le public pourra découvrir les
réalisations des jeunes issus des pays
partenaires du projet.
La soirée s’achèvera sur la proclamation
du lauréat qui aura le bonheur
de se voir offrir une formation
sur trois ans dans la prestigieuse
Ecole internationale de cinéma et de
réalisation (Eicar), située à la porte
d’Aubervilliers.
Cette école privée qui
accueille des étudiants du monde
entier est en effet devenue une partenaire
privilégiée de la ville, via l’Omja
et son festival.
Maria Domingues
Le 4 octobre 2007