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Droits des femmes à Aubervilliers



Du jeudi 8 mars au samedi 10 mars, de nombreuses initiatives originales ont émaillé la Journée des droits des femmes.

Du jeudi 8 mars au samedi 10 mars, de nombreuses initiatives originales ont émaillé la Journée des droits des femmes.

Départ donné le jeudi à 14 h 30 devant la boutique du quartier Robespierre-Cochennec-Péri pour une course de 20 mn dans le quartier organisée par l’équipe d’animation.
La plus rapide a reçu un bouquet de fleurs des mains d’Evelyne Yonnet, maire adjointe, et de Soumia Zahir, conseillère délèguée en charge des Droits des femmes, et les plus jeunes ont eu droit à un bon goûter.

Le collectif Place aux femmes avait lui donné rendez-vous à 19h au Bar du métro Aubervilliers Quatre-Chemins pour une reconquête féminine de l’espace public.
Résultat de leur action, une grande tablée de femmes au bistrot à l’heure de l’apéro, scène pas si courante…
De quoi alimenter le débat organisé samedi, deux jours plus tard, à l’école Wangari Maathai par l’association Génération engagée intitulé « Femmes dans la cité ».

Tout ce samedi après-midi, sous la houlette de l’association Picmaa et en coopération avec de nombreux partenaires, l’école de la rue Paul Doumer a accueilli du public, tant féminin que masculin, et de nombreuses familles pour célébrer cette unique journée annuelle et se rappeler que l’égalité n’est encore qu’un beau mot.
Défilé de mode africaine et danses indiennes avec l’association Lacim pour s’émerveiller, salsa, tango, rock, souk et compas avec l’association Danses de salon pour se réchauffer, massage traditionnel chinois et mots doux susurrés à l’oreille par la Cie des Souffleurs pour se détendre et animation musicale assurée par l’association Médiasports, puis par l’association des Marocains de France et la chanteuse Myriam Hammani…
Il ne manquait rien pour passer un bon moment !

L’atelier bijoux mené par Sylvie Debrouvy et celui de peinture de Florence Davoult ont remporté un grand succès : les participants pouvaient repartir avec les bijoux qu’ils avaient créés, mais le portrait de la militante kenyane Wangari Maathai, première femme africaine à recevoir le prix Nobel de la Paix en 2004, restera dans l’école.

Claire Darfeuille
Photos : Stéphane Salandre
Le 13 mars 2012

 

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