Enquête territoire victimes 2005
La municipalité a confié au Forum Français de sécurité urbaine le soin de réaliser une enquête de victimation qui a débuté le 4 janvier. Jusqu’au 19 février. 1 000 Albertivillariens seront sollicités par téléphone par l’institut Lavialle.
La municipalité a confié au Forum Français de sécurité urbaine le soin de réaliser une enquête de victimation qui a débuté le 4 janvier. Jusqu’au 19 février. 1 000 Albertivillariens seront sollicités par téléphone par l’institut Lavialle.
La municipalité a confié au Forum Français de sécurité urbaine le soin de réaliser une enquête de victimation qui a débuté le 4 janvier. Jusqu’au 19 février. 1 000 Albertivillariens seront sollicités par téléphone par l’institut Lavialle.
Depuis le 4 janvier et jusqu’au 19 février inclus, l’Institut de sondage Lavialle (ISL) réalise la première phase d’une enquête de victimation intitulée « Enquête territoire victimes 2005 ».
Entreprise par le « Forum français pour la sécurité urbaine » et le CNRS, à la demande de la Municipalité, cette enquête a pour objet de mesurer très précisément les chiffres de la criminalité sur le territoire de la commune.
Les informations ainsi obtenues devraient permettre à la ville de mieux cerner la délinquance et les attentes de la population quant aux politiques de sécurité et de comprendre pourquoi certaines victimes n’ont pas recours aux institutions (refus de porter plainte, absence totale de signalement en cas d’agression...).
Confiée à l’Institut Lavialle, la première étape de l’enquête passe par des entretiens téléphoniques, d’une vingtaine de minutes, réalisés auprès d’un échantillon de 1000 personnes âgées de 15 ans et plus.
Ce sondage fait suite à une série de mesures adoptées par la Municipalité dans le cadre du Contrat local de sécurité. Ainsi, une première étude en 1998 avait déjà permis de dégager un certain nombre de données.
Aujourd’hui, il est apparu nécessaire de réactualiser ces chiffres et de mesurer l’évolution des attentes de la population.
Les informations recueillies seront ensuite analysées par le CNRS puis renvoyées au FFSU qui s’est engagé à transmettre les premiers résultats à la municipalité, d’ici le mois de juin.
Le coût global de cette opération s’élèverait à 28 000 euros pour lesquels la ville a sollicité une subvention auprès du Conseil Régional.
M.D