Le contrat qui va dans le bon sens
Soixante-trois. C’est le nombre de chefs d’entreprise qui ont signé à ce jour la charte entreprise-territoire élaborée conjointement par la communauté d’agglomération et Plaine Commune promotion au début 2005.
Soixante-trois. C’est le nombre de chefs d’entreprise qui ont signé à ce jour la charte entreprise-territoire élaborée conjointement par la communauté d’agglomération et Plaine Commune promotion au début 2005.
Soixante-trois. C’est le nombre de chefs d’entreprise qui ont signé à ce jour la charte entreprise-territoire élaborée conjointement par la communauté d’agglomération et Plaine Commune promotion au début 2005.
Le chiffre est confirmé par Philippe Pion, le
responsable du département économique de Plaine Commune. « Pour cette première année, nous en espérions une centaine. »
Si l’objectif n’est pas atteint, le bilan de cette initiative n’en demeure pas moins encourageant.
Ces chartes sont nées pour favoriser de l’embauche locale.
Comment inciter les entreprises de l’agglomération à recruter plus sur le territoire ?
En leur proposant un deal gagnant-gagnant a-t-on imaginé du côté de Plaine Commune.
D’un côté, des sociétés qui s’engagent sur des actions très concrètes (embauche et formation, versement du 1 % logement, accueil de travailleurs handicapés, participation aux bourses locales de l’emploi, etc.).
De l’autre, une communauté d’agglomération qui leur garantit une écoute privilégiée pour faciliter leur insertion sur le territoire (aménagement de l’espace public, transports, sécurité, services de proximité, etc.).
Comme la liste des engagements est à la carte, une petite entreprise peut n’en prendre qu’un (mais elle doit l’atteindre dans les trois ans) alors qu’un gros groupe s’investira plus facilement sur plusieurs.
Parmi les derniers convaincus, deux signataires de poids : l’assureur
Générali (le plus gros employeur privé de l’agglomération avec
4 000 salariés) et l’entreprise Saint-Gobain.
Ainsi qu’une quinzaine de PME, dont l’imprimerie Edgar pour Aubervilliers.
Frédéric Medeiros
Le 4 janvier 2006