L’Eglise de la Madeleine à Paris accueillera du 7 au 20 Novembre 2005 les œuvres de Zakia
Azzouz, jeune artiste albertivillarienne.

Il y a dans sa peinture toute la féminité mais aussi toute la réflexion d’une jeune femme de son époque.

Très vite son œuvre interpelle, séduit même les plus grands comme Henri Jobbé - Duval Président de la FIAC, qui veille aujourd’hui sur sa carrière.

Le plus étonnant, c’est la précision de sa touche. Travaillant la matière
dans l’épaisseur, comme les adeptes de l’école de Rouen le faisaient avec
leurs couteaux, mais au lieu de rentrer dedans elle la caresse, exprimant
là toute sa féminité.

Patrick Wassef

Et alors, presque par magie, naissent entre ses doigts les contours esquissés d’un monde de lumière ‘’ éthérés et inépuisables.
Un prisme de
clarté à travers lequel palpite ce souffle de vie qu’on appelle émotion.

Sébastien Couratin

Vernissage le 7 Novembre à partir de 19 h
Salle Royale de l’Eglise de La Madeleine

« L’effervescence de mes pensées permet à mes doigts de fusionner
avec les couleurs. »

« Pour créer, mes seuls outils sont mes doigts que j’utilise pour tirer
directement la peinture des tubes et l’appliquer sur chaque toile
dans de grandes arabesques. »

« Juxtapositions, superpositions, je travaille la peinture dans sa densité
mais toujours en la lissant avec volupté et en libérant sa magie de
nuances et de contrastes. »

Zakia
Azzouz