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Concours Poésie en liberté

Ecrire. Ce concours ne demande rien d’autre. Et les envies ne manquent pas du côté des jeunes. Le projet dure depuis 1998. Et cette année, une soirée de clôture spéciale est organisée le vendredi 19 novembre à l’espace Renaudie.

Ecrire. Ce concours ne demande rien d’autre. Et les envies ne manquent pas du côté des jeunes. Le projet dure depuis 1998. Et cette année, une soirée de clôture spéciale est organisée le vendredi 19 novembre à l’espace Renaudie.

Des élèves du lycée Henri Wallon liront des poèmes contemporains. Les textes retenus seront lus par la comédienne Anne Rimlinger.
Le lendemain, la remise de prix officielle aura lieu au Salon de l‘Education, Porte de
Versailles.
L’invitation au concours baptisé Poésie en liberté a, encore une fois, bien été entendue. « Il s’agissait d’une réelle demande, explique le responsable de l’association, Jean-Pierre Cascarino,
professeur de lettres à Henri Wallon et
initiateur du projet.
Via Internet, jeunes écrivains et professeurs ont pu tisser des liens sur le plan national, mais aussi à l’étranger.
Chaque année, les jeunes de moins de
25 ans déposent leurs poèmes avant fin avril. Une pré-sélection est assurée par une équipe d’élèves et de professeurs.

Pour 2004, 4 500 textes ont ainsi été classés. C’est surtout une belle revanche sur les préjugés, pour Jean-Pierre Cascarino :
« Ça bouscule un peu les idées de certains, qui parlent de banlieues dont il n’y a rien à en tirer. Une fois encore, des textes de lycées professionnels et de détenus de Fleury Mérogis ont été retenus, et figureront dans l’anthologie ».

Carine May

 

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