Une ville hors AGCS
Le 23 octobre 2003, le Conseil municipal d’Aubervilliers prononçait le voeu de placer
la ville « hors AGCS », dénonçant cet Accord général sur le commerce des services,
négocié au sein de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et visant à privatiser
des services essentiels : l’éducation, la santé, le transport, l’énergie, la
sécurité.
Le 23 octobre 2003, le Conseil municipal d’Aubervilliers prononçait le voeu de placer
la ville « hors AGCS », dénonçant cet Accord général sur le commerce des services,
négocié au sein de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et visant à privatiser
des services essentiels : l’éducation, la santé, le transport, l’énergie, la
sécurité.
Le 23 octobre 2003, le Conseil municipal d’Aubervilliers prononçait le voeu de placer
la ville « hors AGCS », dénonçant cet Accord général sur le commerce des services,
négocié au sein de l’Organisation mondiale du commerce (OMC) et visant à privatiser des services essentiels : l’éducation, la santé, le transport, l’énergie, la
sécurité.
Face à ce risque de remise en cause du principe même de l’égalité de traitement et
d’accès aux services, le 10 décembre 2005 la municipalité décidait de poser un
panneau « zone hors AGCS » à l’entrée de la ville (au début de la rue des Cités, à
la limite avec Paris), traduisant sa volonté de défendre un service public pour
toutes et tous quels que soient les revenus, le lieu de vie ou les origines.