Association française pour la lecture
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L’Association Française pour la Lecture organise le colloque « APPRENDRE À LIRE UNE LANGUE QU’ON NE PARLE PAS »
Jeudi 14 et Vendredi 15 novembre 2013
Il s’agira de réfléchir et d’échanger sur la condition des sourds en France et plus particulièrement des difficultés qu’ils peuvent rencontrer lors de l’apprentissage de l’écrit.
Programme et inscription ci-dessous
Pour plus d’informations : http://www.lecture.org/actualites/DP_colloque_lsf_2013.pdf
Présentation
L’Association Française pour la Lecture a été créée en 1967. C’est une association de type « loi de 1901 » (association à but non lucratif), elle est agréée association éducative complémentaire de l’enseignement public et association pour la jeunesse et l’éducation populaire (Ministère de la Jeunesse et des Sports). Elle participe aux travaux du CAPE (Collectif des Associations Partenaires de l’École publique) et à ce titre est présente dans les ESPE (Écoles Supérieures du Professorat et de l’Éducation). Elle représente la France au sein de l’IDEC (International Development in Europe Commitee) membre de l’IRA (International Reading Association).
L’AFL compte environ 300 adhérents et est organisée autour d’une dizaine de groupes locaux ou régionaux, de correspondants et de personnes relais pour les logiciels.
L’association regroupe des enseignants, des bibliothécaires, des parents, des acteurs de la vie associative, des élus qui s’efforcent de « déscolariser » la réflexion sur la lecture. Il s’agit pour l’AFL de transférer à l’ensemble du corps social la responsabilité de la « lecturisation » de ses membres. Par ce néologisme, l’association marque une volonté de rupture avec les pratiques d’alphabétisation, impuissantes à satisfaire la revendication d’un élargissement des bases de la vie démocratique et à assurer une élévation massive du niveau de formation générale des forces productives.
L’AFL propose à tous ces personnels, aux associations, aux collectivités publiques, aux diverses instances impliquées dans la formation initiale et continue, une réflexion en commun, un travail méthodique sur des hypothèses nouvelles, cohérentes avec l’avancée des recherches et un échange sur les moyens de cette politique.