Retour de guerre suivi de Bilora
Deux étrangers en loques, arrachés à leur campagne, échouent à Venise pour y retrouver leur femme.
Ruzante et
Bilora mesureront dans la Cité des Doges l’immensité de leur solitude.
De ces deux courtes pièces, féroces et
comiques, écrites au XVIe siècle, Jean-Louis Benoit fait un spectacle, moderne et cruel, qui résonne étrangement
avec la férocité de notre époque.
Revue de presse :
On rit du grotesque des situations mais ce rire est jaune et les coups de bâtons finissent par faire mal.
La mise en
scène, évitant tout effet appuyé, se révèle d’une indicible légèreté.
Loin de toute démonstration, on est dans
l’ordre de la vie qui court, fébrile, fragile, portée par le jeu d’un quatuor de comédiens virtuoses. La Croix.
Il
arrive parfois que des textes résonnent encore. Longtemps après leur écriture. Ceux d’Angelo Beolco
appartiennent à cette lignée rare. La Marseillaise.
Manuel Le Lièvre est de ces acteurs qui enflamment un
plateau par la puissance de leur jeu. Les Échos.
petite salle
du vendredi 6 janvier au samedi 4 février
du mardi au samedi à 21 h, le dimanche à 16 h 30
durée 1 h 30